vendredi 20 février 2015

Projet Anastasis en images : l'île de Malte - The Malta island

Dernier voyage pour les lecteurs de Projet Anastasis : un petit tour à Malte, et plus particulièrement à La Valette. Une vieille ville très intéressante. Dès le premier jour à se promener dans ses rues et ruelles, Jacques avait décrété qu'une partie de son prochain roman se passerait là.
Malte, une toute petite île de méditerranée, mais qui a eu son importance à travers les siècles, et qui est maintenant un petit paradis fiscal pour certaines sociétés.

Last trip for the readers of 'Anastasis Project' : a tour at Malta, and more specifically in Valetta, a very interesting old city with a lot of History. On the first day of our trip there, jacques had made up his mind: a part of his next story would take place there.
Though a quite small island in the mediterraneen sea, it has had some importance in the past, and is now a little tax haven for some companies.

Premier contact avec la ville en arrivant par l'aéroport : le plan des bus. Des circuits compréhensibles seulement par les Maltais, des numéros de bus ne correspondant pas à ceux affichés, bref, seule solution, demander au chauffeur où il va. En tout cas, Jean Legarec a réglé le problème à son arrivée : il a pris un taxi.
When arriving at Malta airport, the first contact you make with the city is the bus map. Very intriguing, with loops understandable only from the locals, displayed bus numbers which do not correspond to the buses... The only solution to find out which bus to take is to ask the driver himself. Anyway, Jean Legarec was quick to solve the problem ! He took a cab !
 
Son hôtel  se situe dans une rue étroite de La Valette, où immeubles en cours de rénovation côtoient des immeubles à l'abandon.
His hotel is located in a narrow street of Valetta, where renewed buildings and abandoned ones are close to each other. 

Et à chaque coin de rue, le bleu de la mer. 
And at each street corner, the blue of the sea.
Dans l'histoire, le séjour maltais se déroule en décembre. Mais dans cette île où il ne pleut que quelques jours par an, dès les beaux jours, il peut faire très chaud. Et lors de notre séjour fin juin, le chapeau était de rigueur pour se protéger des rayons ardents du soleil. D'ailleurs, on peut en acheter partout, et le choix est vaste.
In the book, the story takes place in december, so the temperature in Malta was mild. But in this island where it seldom rains, it can get very very hot. Wearing a hat is than mandatory if you want to avoid a heat stroke. You can find a large choice of hats at each street corner.
Premier soir pour Jean. En attendant son rendez-vous du lendemain matin, en bon français épicurien, il va faire un tour du côté de Marsaxlokk (ça se prononce marsachlok) et de son petit port touristique, pour déguster un bon poisson.
First evening for Jean. As he has to wait for the next day to meet his contact, and as he is a French guy who likes good food, he spends his evening in Marsaxlokk (pronounced Marsashlok) and its little fishing harbor to savour a good fresh fish.
 Quelques vues de La Valette
Some views of Valetta
Mais de l'autre côté du bras de mer, place aux modernisme, à l'urbanisme forcené, aux boîtes de nuits et aux bars pour touristes.
On the other side of the sea inlet, the landscape changes: modern buildings, night clubs and bars for tourists.
Et c'est dans la co-cathédrale Saint-Jean dont on peut admirer ici les dorures que Jean prendra contact avec le groupe de combattants Libyens qui vont l'aider dans sa quête... moyennant finance bien sûr.
Jean will be contacted by the Libyan group in the richly decorated Saint John co-cathedral.

Plus d'image de Malte ici - More pictures of Malta here.

Jacques et moi nous vous remercions de votre visite sur ce blog, en espérant que vous avez apprécié ces images autour de mon roman. 
Jacques and me thank you for your visit on our blog. We hope that you have appreciated these pictures about 'Anastasis Project'

Merci de vôtre fidélité, et j'espère à bientôt pour de nouvelles aventures.
Thanks for your fidelity.

Jacques-Line Vandroux

samedi 14 février 2015

Projet Anastasis en image : un petit tour à Andlau - The village of Andlau

Après Paris, Strasbourg et Munich, un autre lieu qui a de l’importance dans le récit est un petit village médiéval entouré de vignes, au pied des Vosges, où habite Lucien Weber, le grand-père de Béatrice. Lucien qui nous fait revivre son passé jusqu’alors inconnu de sa petite fille.

Un village touristique qui servira aussi de refuge à Béatrice chez ses amis de toujours Henri et Jeannette Féclaz. Un couple chaleureux, largement (et avec leur autorisation) inspiré de personnages réels.

After Paris, Strasbourg and Munich, here is another spot which is important in the story. It's a little medieval  village surrounded by vineyards, at the Vosges foothills. There lives Lucien Weber, Béatrice's grand father, who tells about an unknown past.
This village will also be a shelter for Béatrice, who will hide in her friend's home. Henri and Jeannette Féclaz, a very sympathethic couple, will welcome her warmly.

Les photos ont été prises en septembre (alors que le roman se déroule en décembre), nous offrant ainsi de belles vues et de belles couleurs de début d'automne sur des vignes chargées de grappes. 
The photographs were taken in september (whereas the story takes place in December), offering nice views with beautiful automn colours on the vineyards full of grapes.

Vue du village depuis le cimetière. Un paysage charmant qui donne envie de choisir là sa dernière demeure. Au-dessus de l’église, on distingue un des deux châteaux du XIIIe siècle qui veillent sur le village. Ici, le château du Spesbourg.
The village has a small cemitery from which you can admire the whole village. It's so nice that many people would dream to be buried here. Over the church, you can distinguish one of the two medieval castles (XIII th century) surrounding the village. Here, the Spesbourg castle.

Et ici, au-dessus d’un village voisin : Mittelbergheim, le deuxième : le château d’Andlau.
And, close to the next village (Mittelbergheim), the second one: the castle of Andlau.

Dans le village, une rivière : l’Andlau
In the village, a river: the Andlau.
 

Et enfin, une autre vue depuis les vignes : la partie basse du village, et au loin, le cimetière et son église. 
And to finish with, another view from the vineyards: the bottom of the village and the cemitery with its church.

Et voilà ! On comprend mieux pourquoi Béatrice a une affection toute particulière pour ce village, et pourquoi elle s’y sent en sécurité.
And that's it. You can now understand why Béatrice was particularly fond of this place, and why she feels secure there.
La prochaine fois... et ce sera la dernière, nous prendrons l’avion pour un petit tour à Malte.
Next time, and it will be the last time, we'll take the plane to Malta.

À bientôt pour de nouvelles aventures.

vendredi 6 février 2015

Quel prix pour un ebook ? La réponse vue par J&J

Geralt Pixabay CC0 Public Domain
Aujourd’hui, petite question de base, mais qui a son importance : comment faut-il choisir le prix de son ebook ?
Sujet maintes fois abordé ! Je vais vous donner aujourd’hui le point de vue des Vandroux, mais bien sûr, comme d’habitude, vous n’êtes pas obligés d’être d’accord avec nous.

Quelques principes de base
Déjà, en tant qu’auteur indépendant en numérique, il faut avoir en tête quelques principes de base :
  • Le lecteur n’a pas envie de dépenser beaucoup pour un livre d’auteur inconnu ou quasi. 5 euros me semble un maximum à ne pas dépasser.
  • Un lecteur de numérique est à la recherche de bonnes affaires, de livres peu chers, et ne dérogera à ce principe que pour des valeurs sûres (prix littéraires, auteurs sur le devant de la scène...)
  • Même si le lecteur aime télécharger des livres gratuits, il faut bien reconnaître que souvent, il ne les lit pas.
  • Le seuil psychologique est important. Il vaut donc mieux vendre son livre à 4.99 euros qu’à 5 euros.
  • Un livre vendu à moins de 2.68 euros sur Amazon vous rapportera 35 % de redevances, alors qu’au-dessus, ce chiffre passera à 70 %
  • Si vous voulez vendre aussi sur iTunes, vous devrez choisir un prix qui se termine en 0.49 ou 0.99 euro
  • Vous ne pouvez pas vendre sur Amazon un livre à moins de 0.89 euro.
  • Chez les Vandroux on aime que nos livres soient à un prix très abordable pour pouvoir être lus par le plus grand nombre. D'ailleurs, plusieurs témoignages de lecteurs nous ont confortés dans cette idée.
Voilà, voilà, je crois que nous avons maintenant tout ce qu’il nous faut pour considérer les différents prix de vos ebooks (enfin, au moins des nôtres...)

Les cas possibles
  • Gratuité : Je me suis déjà exprimée sur la gratuité dans le cadre de KDP Select. C’est une chose que nous avons testée pendant plusieurs mois aux débuts de la publication de « Décollage imminent », et je dois dire qu’à terme, nous avons été déçus par les retombées. Donc la gratuité, oui, pourquoi pas, nous le faisons parfois pour nos ouvrages courts, mais cela doit rester exceptionnel et de courte durée.

  • 0.99 euro : Le prix idéal pour des textes courts (pour moi, à moins de 80 pages Kindle, c’est un texte court, mais c’est vous qui voyez...), ou pour vous lancer lorsque vos livres n’ont pas encore eu la chance de trouver leur public.
    L’avantage c’est que pour ce prix, le lecteur n’hésitera pas à se lancer, en se disant que même s’il n’aime pas, il n’aura pas perdu grand-chose. J’ai vu plusieurs livres atteindre les sommets du top 100 avec cette stratégie, dont Agnès Martin Lugand qui a eu le succès que l’on sait.
    Il y a tout de même quelques petits inconvénients : 
  • vous ne gagnerez pas grand-chose avec ces ventes, 
  • vous n’avez aucune marge de manœuvre pour une éventuelle promotion, puisque vous ne pouvez pas baisser votre prix, 
  • vous ne donnez pas une image très positive et pro de votre livre, puisque vous bradez votre travail. Certes, parfois il faut bien en passer par là pour atteindre des jours meilleurs.
  • 1.49 ou 1.99 euro : Les prix à éviter autant que possible ! En effet, une étude américaine effectuée par la plateforme Smashwords sur un très gros volume de livres a montré que ces prix sont des repoussoirs : les lecteurs ont plus de mal à acheter à ce prix qu’un livre moins cher ou un livre plus cher. Pourquoi cette barrière psychologique ? De nombreuses explications sont sans doute possibles, mais le résultat est là !

  • 2.49 euros : Pour l’incitation à l’achat, c’est beaucoup mieux, mais quel dommage de se cantonner à des redevances de 35 % sur Amazon, quand on peut doubler ce chiffre moyennant quelques centimes supplémentaires ?

  • 2.99 euros : Un prix idéal pour l’incitation à l’achat : on reste sous la barre des trois euros, donc un achat sans risque, on passe à des redevances à 70 %, soit environ 2 euros par livre, et donc autant qu’un auteur édité sur la vente d’un gros livre papier vendu à 20 euros.
    Un prix plus qu’abordable qui permet à tous de vous lire. Certains mails que nous avons reçus montrent que des gens qui ne roulent pas sur l’or achètent ce type de livre.
    C’est aussi pour pouvoir permettre au plus grand nombre de l’acquérir et de le lire que pour le lancement de « Projet Anastasis », ce titre est à 2.99 euros.
    Autre avantage d’un tel prix : après de nombreuses observations sur différents titres, j’ai pu constater que c’est un prix idéal pour un maintien durable dans le top 20 des meilleures ventes Kindle, avec des redevances qui restent intéressantes pour l’auteur.
    Mais là aussi, ce prix présente des inconvénients : celui de vous marquer à la culotte en tant qu’auteur indépendant. Or, de nombreux lecteurs trouvent que ce n’est pas un prix qui inspire confiance. Ils se méfient des auteurs indépendants suite à de mauvaises expériences qu’ils ont pu avoir : trop de fautes, des incohérences, un style approximatif... Bien sûr, ils ne savent pas que tous ces livres ne présentent pas les mêmes désagréments, et préfèrent se méfier et passer par le filtre d’une maison d’édition.
    Par ailleurs, et sans doute pour les raisons que je viens d’évoquer, la même étude Smashwords a montré que des livres à 4.99 dollars (pour nous 3.99 euros) se vendent bien mieux que des livres à 2.99  ou 3.99 dollars. En payant plus cher, le lecteur est en confiance.

  • 3.49 ou 3.99 euros :  suite à la rubrique précédente, on arrive tout naturellement à ce prix : plus sérieux pour le lecteur (mais à un prix suffisamment faible pour un achat sans risque), plus de redevances pour l’auteur. Donc un prix à appliquer (c’est notre choix en tout cas), une fois passé le rush initial à 2.99 euros, ou les achats effectués par vos amis, qui n’hésiteront sans doute pas trop à dépenser 3 euros pour vous (dans le cas contraire... mieux vaudrait en changer :) ). Mais attention ! Si ce prix attire la confiance des lecteurs, il faut aussi la mériter ! Veillez donc à ne mettre à ce prix que des livres impeccablement corrigés et mis en forme !

  • 4.49 ou 4.99 euros :  le prix maximum autorisé (par les principes de base Vandroux énoncés ci-dessus), qui permet d’optimiser ses redevances. Mais est-ce vraiment un bon choix ? Ne vaut-il pas mieux faire deux ventes à 3.99 euros plutôt qu’une seule à 4.99 ?
    En effet, d’après mes observations, les livres vendus à ce prix qui sont présents dans les meilleures ventes y restent rarement longtemps, surtout à des classements élevés. Mais encore une fois, c’est vous qui voyez !!!

C’est bon, vous avez tout suivi ? Je vous le refais en version ultracourte :
  • Gratuit : à éviter
  • 0.99 euros : idéal pour un lancement et des livres courts
  • 1.49 et 1.99 euro : à éviter
  • 2.99 et 3.99 euros : des prix avantageux pour les lecteurs et les auteurs
  • 4.99 euros : un peu cher et limitera vos ventes
  • Au dessus : à éviter
Et si vous ne partagez pas notre avis, n’hésitez pas à vous exprimer sur cette page (si vous le partagez, c’est possible aussi !! )

À bientôt pour de nouvelles aventures
Jacques-Line Vandroux