lundi 29 avril 2013

Le petit bonhomme gratuit les 1 et 2 mai



Gratuit sur Amazon en version ebook les 1 et 2 mai 2013

N’hésitez pas à en profiter !!

Et si ça vous a plu, soyez sympa de laisser un petit commentaire...

samedi 27 avril 2013

Au Coeur du Solstice : Découverte au baptistère

Le premier cadavre est trouvé dans l’ancien baptistère de la ville. Il situé au sous-sol du musée de l’Ancien Évêché, un musée qui retrace l’histoire de la ville, et dont je vous recommande vivement la visite. En plus, il est gratuit ! Donc, ce serait dommage de se priver, si d’aventure vos pas vous amènent à Grenoble. Nous publions ces photos avec l’aimable autorisation d’Isabelle Lazier, conservatrice du musée de l’ancien Évêché. 
Les travaux de la première ligne de tramway ont permis de retrouver l’ancien baptistère, dont la trace s’était effacée à travers les siècles. Ils ont donc été momentanément interrompus pour laisser la place à des fouilles. Vous retrouverez d’autres images sur cette page du site du musée.

L’entrée du musée


L’ancien évêché jouxte la cathédrale de Grenoble que voici dans laquelle Julien a vu entrer la jeune fille à la robe blanche qu’il suivait. De construction fin roman, début gothique, nous sommes loin du style des cathédrales de Strasbourg ou de Paris !

 Devant la cathédrale de Grenoble, l’emplacement du baptistère, situé en sous-sol, est matérialisé sur le trottoir.


 La cour intérieure de l’ancien évêché.


Au sous-sol, les fouilles ont mis en évidence une grosse partie du mur romain qui encerclait la ville de Grenoble, anciennement Gratianopolis, ou Cularo
Un peu plus loin, voilà donc les fameux restes du baptistère. C’est donc là que va être retrouvée Monica, première victime du tueur.

Des vieilles pierres très bien mises en valeur, même si cela ne saute pas forcément aux yeux ici.

  Et en face de l’ancien évêché, les bâtiments de l’évêché actuel, dans lequel nos protagonistes rencontrent le père Valjoney à plusieurs reprises.

Retour au sommaire du cadre de « Au Cœur du Solstice »

Toutes ces photographies sont sous copyright de Jacques Vandroux.
Vous pouvez les utiliser uniquement sous certaines conditions :
  • nous en demander l’autorisation et nous informer de leur usage qui doit rester légal
  • citer Jacques Vandroux et son blog
  • nous envoyer le lien vers les photos que vous utilisez, ou une copie de leur publication.

samedi 20 avril 2013

300 jours dans le TOP 100

Bel exploit pour « Les Pierres Couchées », qui, depuis le 13 avril 2012, soit depuis 373 jours, totalise 300 jours dans le top 100 des meilleures ventes d’Amazon.
Un beau score que je n’aurais pas imaginé il y a un an. 

À l’heure où j’écris ces lignes, petit bilan pour ce titre : 

8102 ventes, dont 35 livres papier 

80 commentaires.
Donc, quand j’écrivais : 1 commentaire pour environ 100 ventes, je n’étais pas loin du compte (ce n’est pas toujours vrai)

Moyenne des commentaires : 4.1 / 5
  • 5 commentaires 1 étoile, dont 3 n’ont commenté que ce livre (bizarre, bizarre)
  • 4 commentaires 2 étoiles
  • 12 commentaires 3 étoiles
  • 17 commentaires 4 étoiles
  • 42 commentaires 5 étoiles
Des notes qui auraient pu être améliorées si nous n’avions pas débuté en publiant un livre contenant beaucoup de fautes d’orthographe

Taux de remboursements :
  • Autour de 3 % les premiers mois, avant que le texte ne soit corrigé
  • Environ 1.5 % ensuite
  • Une remontée à 4 % en décembre-janvier : d’autres auteurs ont remarqué aussi ce comportement à cette période : un comportement hésitant des nouveaux acquéreurs de tablettes ou de liseuses ?
  • Moins de 0.5 % en ce moment : on peut penser que les lecteurs qui achètent ce livre ont déjà lu et apprécié « Au Cœur du Solstice qui est dans le top 10. Ils savent donc à quoi s’attendre. 
Cela risque d’être difficile de faire aussi bien à l’avenir. Mais nous sommes bien loin du challenge de 100 lecteurs que nous nous étions fixés au début de cette aventure, et donc, inutile de préciser que nous sommes ravis.

Merci en tout cas à ceux qui nous lisent pour leur soutien !


samedi 13 avril 2013

Les Pierres Couchées: Dernier acte, Trébeurden et l'île Millau

Et pour terminer ce parcours en image sur les traces des héros de « Les Pierres Couchées », voici maintenant quelques vues de Trébeurden et de l’île Millau, qui verront le dénouement de cette histoire à rebondissements. 
Comme sur la plupart de nos photographies figure aussi notre petite famille, nous vous présentons ici un certain nombre de photos assez anciennes.
 
Une vieille photo présentant Trébeurden avant la construction très controversée de son port de plaisance.

Et voilà enfin la fameuse île Millau, et le gois qui y mène (ici à marée haute), théâtre du dernier acte de l’action de « Les Pierres Couchées » 

Et une autre vue plus récente d’un peu plus loin. La cérémonie a lieu dans la partie de l’île (à gauche) la plus élevée, dont on aperçoit ici les rochers. De nuit, et sous la pluie comme dans le roman, le site paraîtra nettement moins accueillant.


Et voici la chapelle de Bonne nouvelle où Philippe va se recueillir avec son fils Yann, en attendant le retour de sa fille parmi les vivants.

 Et pour terminer, quelques monuments aux alentours de Trébeurden :
 
Une allée couverte à l’Ile Grande

 Le menhir christianisé de Saint Uzes à Penvern

 Ce parcours en image des héros des Pierres Couchées se termine ici. J’espère qu’il vous a plu. Vous pourrez bientôt retrouver le même type de cheminement pour le dernier roman de Jacques Vandroux : « Au Cœur du Solstice ».




Toutes ces photographies sont sous copyright de Jacques Vandroux.
Vous pouvez les utiliser uniquement sous certaines conditions :
  • nous en demander l’autorisation et nous informer de leur usage qui doit rester légal
  • citer Jacques Vandroux et son blog
  • nous envoyer le lien vers les photos que vous utilisez, ou une copie de leur publication.

samedi 6 avril 2013

Auto-édition : numéro ITIN

Cela fait longtemps que je vous en parle et que je repousse mes explications à plus tard. Mais maintenant, je n’ai plus d’échappatoire. Il va bien falloir y passer.

Alors c’est quoi ce numéro ITIN (prononcer « aïe Ti aïe enne », sinon, les Américains vous regarderont bizarrement) ?

C’est un numéro qu’il est indispensable d’avoir : 
- Si on veut publier directement sur l’iBookstore
- Si on ne veut pas que le produit des ventes de ses livres aux États-Unis soit ponctionné d’un montant forfaitaire de 30 %. Ce qui pourra être le cas sur Amazon pour les ventes sur Amazon.com, mais aussi sur Smashwords, pour toutes vos ventes. Ce montant forfaitaire est prélevé par l’administration fiscale américaine (IRS). Si vous êtes Français, un accord entre la France et les États-Unis permet d’exonérer les ressortissants français de cette taxe puisqu’ils paient déjà leurs impôts en France. Mais pour cela, il faut avoir le fameux numéro.
Et pour l’avoir... Il y a quelques démarches à effectuer.

Certes, si vous ne vendez que des livres en français sur Amazon, vous pouvez vous poser des questions sur le bien-fondé de ces démarches : est-ce que ça vaut vraiment le coup de s’embêter pour quelques euros annuels ? À vous de voir !

Pour ce qui nous concerne, comme nous publions chez Syllabaire Editions, qui s’occupe de ce type de formalité, ce numéro ne nous est utile pour l’instant que pour récupérer quelques sous du côté d’Amazon.com. Aussi, ne nous sommes nous pas pressés pour l’obtenir. 

Vous trouverez bien sûr toutes les explications nécessaires sur le site d’aide KDP d’Amazon.
Ou encore (en anglais), celui de Smashwords
Personnellement, ces explications ne m’ont pas semblé très convaincantes, et il m’a fallu relire tout ça plusieurs fois avant de savoir ce qu’il fallait faire exactement. Si donc, vous préférez vous épargner quelques maux de tête, je vous suggère d’aller voir plutôt sur le blogmia (encore lui), ou tout cela est expliqué très clairement étape par étape.

L’idée étant, pour récupérer ce fameux numéro, de rassembler trois pièces essentielles :
  • Le formulaire W7 correctement rempli.
  • Une lettre d’Amazon (ou autre, précisant qu’ils seront amenés à vous verser des subsides aux États-Unis)
  • Une copie conforme de votre passeport si vous en avez un. D’après mia, cette certification doit être faite par un consulat des États-Unis, ce que nous avons fait, et pourtant, tout cela nous est revenu, en demandant une certification dans l’établissement qui a délivré le passeport (la mairie pour nous). Donc, pour éviter toute déconvenue, et une obtention rapide de ce numéro, personnellement, je vous suggère de faire parvenir les deux à l’administration américaine, qui saura trier le bon grain et l’ivraie, et vous renverra les pièces dont elle n’a pas besoin.
Et de les envoyer au Texas à l’adresse suivante : Internal Revenue Service
Austin Service Center
ITIN Operation
P.O. Box 149342
Austin, TX 78714-9342
États-Unis


Puis, d’attendre bien sagement, et quelques semaines plus tard, vous recevrez un mail, puis un courrier papier, vous indiquant ce fameux numéro.
Rien de bien compliqué donc, à condition de pouvoir se rendre dans un consulat des États-Unis et d’avoir bien rempli toutes les pièces demandées.

Enfin, il faut renvoyer à Amazon (ou autre) le formulaire W-8BEN, rempli à la main, en croisant bien fort les doigts pour qu’ils le reçoivent, et pour cela, je vous conseille un envoi traçable, par exemple un recommandé international avec accusé de réception.

Avant de poursuivre, je précise que, plutôt que de demander un numéro ITIN (pour les personnes physiques), il est possible d’obtenir un numéro EIN (avec un bémol tout de même, car si j’ai bien compris, ce numéro est prévu pour les sociétés et pour les personnes morales), qui fonctionne aussi. Ce numéro s’obtient normalement plus facilement, grâce à un « simple coup de fil » aux États-Unis... Si vous voulez tenter le coup... Sinon, vous pouvez aussi contacter Rémy Gienza, qui, moyennant une somme forfaitaire qui couvrira ses divers frais, vous aidera à obtenir ce fameux numéro.

Et Jacques Vandroux ? Il l’a obtenu son numéro ? Eh oui, ça y est ! Tenant un blog sur l’auto-édition, ne nous devions-nous pas de passer cette étape ? Même si finalement, cela ne nous permettra pas de récupérer des montants importants. Mais ce qui est fait n’est plus à faire, et fièrement, nous pouvons témoigner : WE DID IT !!

Profitant d’un séjour dans une ville disposant d’un consulat américain, j’ai pris un rendez-vous téléphonique, et c’est, munis des différentes pièces du dossier, que nous nous sommes rendus sur les lieux.
On ne rentre pas n’importe comment dans un consulat américain !
Deux vigiles à l’entrée, nous ont fait montrer patte blanche, puis nous ont accompagnés sur les... 4 mètres jusqu’à l’entrée du bâtiment. Nous sommes donc entrés dans une pièce d’environ 35 mètres carrés. Un garde armé nous observait sévèrement derrière une vitre.
Puis, avec toute la courtoisie nécessaire, nous avons eu droit à une fouille complète de nos affaires. Mon sac à main a été passé en revue, et comme tout sac féminin, c’est un puits sans fond dans lequel se trouvent des objets dont je ne me souvenais même plus !
Les objets tels que : étui à lunettes, téléphone portable, clé USB, Kindle, clés..., furent mis de côté et enfermés dans un coffre. On ne sait jamais ! 
Puis, un pas en avant pour passer sous le détecteur de métaux. Ouf, c’est bon, rien à signaler.
Deux pas sur le côté pour nous asseoir en attendant notre tour. Et enfin deux pas en avant pour nous installer en face de notre interlocuteur lorsque notre tour est arrivé.

Nous avons été reçus par un monsieur tout à fait charmant, qui en plus de nous fournir (gratuitement contrairement à l’expérience de mia) les certificats demandés, nous a fait l’historique de la présence américaine en France, et a transmis directement les documents à l’IRS (administration fiscale américaine) par mail.

Une expérience intéressante donc, qui valait bien ce petit déplacement.

Ensuite, premier envoi à Amazon du formulaire W-8BEN... et puis... le courrier s’est perdu, puisqu’Amazon ne l’a pas reçu. Nous en sommes donc à notre deuxième envoi. En recommandé cette fois. Et on verra... 

Mais je le redis : pas besoin de vous lancer dans de telles démarches si vous n’en avez pas l’utilité.

À la prochaine fois pour parler de numéro ISBN...

Ce billet vous a plu ? Retrouvez dans « Grimpez vers le top 100 » tous les billets déjà parus sur l’auto-édition, repris, mis à jour et remaniés, avec en plus de nombreuses rubriques supplémentaires.

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mercredi 3 avril 2013

Le petit bonhomme des volcans fait son bonhomme de chemin

En publiant ce livre sur Amazon, j’étais loin de parier sur un résultat pareil. Je me disais qu’avec ses dessins d’enfants, cette histoire n’attirerait certainement pas grand monde.

Eh bien ! j’avais tort !

Après les deux jours de promotion gratuite, le petit Féfé est sorti des profondeurs du « non-classement » (puisqu’il n’y avait eu aucune vente), pour se hisser dans les ventes jeunesse.

Comment expliquer cela ?
  • L’effet de la promotion gratuite ?
  • Le prix ?
  • Le style de l’histoire ?
  • Le nombre assez réduit de livres prévus pour cette tranche d’âge ?
  • Le fait que les lecteurs de Jacques Vandroux aient envie de voir ce que peut faire l’auteur pour un autre public ?
Sans doute un peu tout cela.

Maintenant qu’il y a des ventes, il ne nous restera plus qu’à choisir l’association qui va en profiter !!
Encore merci aux lecteurs...